La grande supercherie…
Le ridicule « classement des meilleurs chefs du monde » organisé par la modeste revue anglaise Restaurant, équivalent français de l’Hôtellerie ou de l’Industrie Hôtelière, recèle un côté très britannique et très anglo-saxon. Anglo-saxon par le désir de créer partout des hiérarchies, des « leaders », des dominants. Britannique par cet art consommé du fantasque que l’on retrouve dans …